On m’avait prévenu, mais je n’y croyais pas. La France allait me manquer, des tas de petites choses — que je n’appréciais pas forcément avant — allaient me manquer. Mais c’est vrai. Tout ceux qui m’avaient prévenu avaient raison. Aujourd’hui, je n’ai plus peur de dire que j’aime la France, la ville d’où je viens, Paris, et la banlieue où je vis.
Arthur, Clawson, Michigan, Une année aux USA