Julie, Dortmund
Un an en Allemagne
Aujourd’hui, une copine m’a dit que ça allait lui faire bizarre quand je ne serai plus là. Et elle s’est mise à pleurer. J’ai réalisé alors que dans trois semaines, je partais ; alors les larmes me sont montées aux yeux. J’ai réalisé à cet instant que je me sentais bien, ici, avec mes amis, et que dans trois semaines je disais adieu à l’Allemagne et que tout cela était fini. Un copain m’a dit : « Mais qu’est-ce que tu racontes, tu es Allemande maintenant. Rien n’est fini. »