Le 6 avril dernier, pour mes dix-huit ans, ma famille m’a amenée voir un musée et un match de NBA ; puis on est allé faire du shopping. Dans une sorte de petite boulangerie nommée Au bon Pain, ils m’ont acheté un petit pain au chocolat. À ma grande surprise, il n’était pas mauvais du tout. Pendant un instant, en le dévorant, j’ai eu l’impression d’être en France.
Que les participants qui appréhendent leur adaptation se disent que, dans la plupart des cas, les familles sont prêtes à les accueillir à bras ouverts et prêtes à les considérer comme un membre à part entière de leur foyer. Cela ne veut pas dire qu’ils remplaceront les familles naturelles. Ce n’est pas leur rôle et ce n’est pas ce qu’ils cherchent à faire.
Ma tête est emplie de souvenirs, et mon coeur d’amour. Tout ça grâce à ma famille d’accueil qui a su faire de mon année ici quelque chose d’extraordinaire, et grâce à mon exceptionnelle famille naturelle, et grâce à mon entourage.
Amandine, Faimount, Indiana
Une année scolaire aux USA