Séjours scolaires dans un lycée (High School) au Canada

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Entre étudiants d'échanges internationaux — Une année en famille et à l'école au Canada

Infos pratiques Canada 2024/2025

Année scolaire

22 900 €
fin août/début sept. 2024
Inscription ouverte


Semestre scolaire

13 700 €
fin août/début sept. 2024
Inscription ouverte


Trimestre scolaire

9 200 €
fin août/début sept. 2024 ou janv. 2025 ou avril 2025
Inscription ouverte


2 mois

7 500 €
fin août/début sept. 2024 ou janv. 2025 ou avril 2025
Inscription ouverte


Echange 2 mois

à titre informatif 4 350 € en 2024 
2024/2025 : complet
2025/2026 : pré-inscription
Phase “Départ” : fin août/début sept. 2025
Phase “Accueil” : février 2025 ou février 2026

S’inscrire

Pour partir une année scolaire, un semestre, un trimestre scolaire ou 2 mois en 2024, vous devez impérativement être né entre le 1er janvier 2007 et le 31 décembre 2010

Pour partir en Échange 2 mois en 2024, vous devez impérativement être né entre le 15 août 2007 et le 30 août 2011

Partir au Canada avec PIE

C’est une des destinations les plus prisées des participants et un des plus anciens pays partenaires de l’association. PIE travaille en effet depuis plus de 35 ans avec le Canada et propose un panel assez large de séjours. Tous sont basés sur l’immersion totale (à l’école et en famille) et sur la valeur éducative de l’expérience.

Pour les 14-18 ans — PIE permet à un lycéen français de vivre une année scolaire, en intégrant un lycée canadien (“High School”) et en étant accueilli dans une famille. Sur cette destination, PIE permet également à un lycéen de partir un semestre scolaire ou un trimestre scolaire ou 2 mois (dans le cadre d’un échange avec réciprocité de l’accueil ou d’un séjour de 8 semaines).
Sur les enjeux des séjours scolaires de longue durée et sur la mise en place de tels séjours, lire aussi : Partir avec PIE.

Pour les 18-28 ans — PIE ne propose pas de séjour au Canada, mais permet aux jeunes Français d’étudier dans une université américaine de 1 à 4 années (parcours diplômant et bourse d’études garantie).

À SAVOIR — La participation financière à un séjour au Canada est globalement plus élevée que la participation à un séjour aux États-Unis. Cela s’explique par la demande très importante sur ce pays au regard de sa faible population (moins de 40 millions d’habitants). Pour faire face à cette “pression”, l’état et les écoles publiques canadiennes exigent des organismes une participation financière à la scolarité des élèves étrangers. Cette participation se répercute en partie sur le montant de la participation au séjour.

10 millions de km2 (soit 20 fois la France et près du quart du continent américain). 6 fuseaux horaires mais une seule frontière. 7000 kms d’Est en Ouest, 5 000 du Nord au Sud (autant que de Paris à Bombay), 12 heures de vol pour atteindre Halifax en partant de Dawson City. 1/2 millions de lacs (le tiers des ressources en eau douce de la planète) et quelque chose comme cinq mille milliards d’arbres…

Le pays est vaste et varié. Entre les plaines de l’Alberta, les Fjords de la Colombie Britannique, le terrain de golf qu’est l’Île du Prince Edouard et les icebergs des territoires du Nord, les contrastes sont surprenants. Proche de la chaude Australie par sa dimension et son envergure, le Canada en est la réponse froide et lointaine. Le climat est rude. Si les Canadiens plaisantent en prétendant qu’il n’y a qu’une saison (l’hiver dernier et l’hiver prochain), ils savent que l’été bref (entre deux et quatre mois suivant les latitudes) est néanmoins intense. Réunissant les extrêmes (de-40°C à +40°C) l’automne, doux, n’en est que d’autant plus beau. La nature est puissante. Elle a forgé un peuple pratique et entreprenant.

Jusqu’en 1965 ce pays n’avait ni drapeau, ni hymne. On raconte que, lors des discussions parlementaires pour choisir un emblème, un membre de la chambre aurait proposé l’arc-en-ciel. C’est dire la diversité des populations, des sentiments et des intérêts. Certains n’hésitent pas à parler du Canada comme d’une collection d’ethnies, de peuples, de couleurs et de religions. Ici, pas de “melting pot” mais des strates qui se croisent et se superposent.

En réalité, le pays est marqué par l’opposition entre deux cultures principales : la culture française du Québec et la culture anglo-saxonne des autres provinces. Symbole de cette confrontation : le bilinguisme. C’est une opposition continue, rarement violente mais toujours vive, qui empêche encore la naissance d’un sentiment national fort, mais qui permet aux minorités (à l’exception des Indiens autochtones) de s’exprimer.

Canada - Maison d'été - PIELa vie culturelle des Canadiens frappe par la diversité des moyens d’expression et l’étendue des possibilités offertes. Comme tous les pays, le Canada a ses conventions (la gentilles

se et la politesse), ses horaires (“Early to bed, early to rise make a man healthy, wealthy and wise”) et sa nourriture (le sirop d’érable et les fri

tes au vinaigre). Cet ensemble d’habitudes apporte une certaine cohésion mais créé aussi une certaine confusion. En effet “le mode de vie canadien “, cela se traduit plus ou moins par “The American way of life”. Mêmes coutumes, même chaleur et bonne humeur, même énergie et même savoir-faire. Les Canadiens comme les Américains ont un niveau de vie très élevé. Ils accordent dans leur grande majorité une importance capitale aux signes extérieurs de richesse (télé, voiture et électro-ménager).

Cette ressemblance s’explique par une interdépendance linguistique et économique. Le Canada a besoin de capitaux pour continuer à s’équiper et à se moderniser. Il doit produire, donc élargir un marché limité par sa faible population. Mais ce frère jumeau américain tient à affirmer sa personnalité et son goût pour l’indépendance. Car, même s’il respecte son voisin comme on respecte un parent, il le juge trop fier, trop arriviste et pas assez ouvert au monde extérieur.

Le citoyen canadien, bien plus que son cousin américain, cultive le goût et la culture du dialogue. Il préfère toujours les manifestations verbales aux manifestations de force. Le Canada est un pays naïf et sophistiqué, souvent conservateur mais le reste du temps franchement libéral, chaud et froid, bon vivant mais constamment calme. Ce pays imaginatif (les inventeurs de la pénicilline, du basket, du rouleau à peinture et de la “snow-mobile” y sont nés) a réussi un subtil dosage entre le dynamisme américain et la dialectique européenne. D’où cette association entre le naturel US et l’élégance “British ” (culture, humour et sagesse). C’est la destination idéale pour un Français qui veut se dépasser sans être trop déboussolé.

Canada, maison d'hiver - PIE

Les étudiants qui partent par PIE sont placés dans des familles anglophones chaleureuses.

Elles savent en général faire partager leurs activités avec autant de passion que de décontraction (” parties “, golf, hockey et autres activités sportives, cinéma, barbecue, week-end au bord des lacs…). Elles reçoivent de façon simple et agréable. Elles ont, tout naturellement, le sens de l’accueil.

Rentrée scolaire au Canada - Séjour scolaire PIELes étudiants qui partent par PIE sont placés dans des écoles anglophones.

Si le système et l’organisation scolaire canadiens varient beaucoup d’une province à l’autre, des principes pédagogiques assez forts se dégagent. Ils sont proches de ceux des États-Unis. Le choix des matières est très étendu. L’épanouissement de la personnalité reste le critère de prédilection. Le sport est important. Les relations professeurs-élèves sont souvent cordiales. Le niveau général est assez élevé.

Plus d’info sur la high school au Canada dans l’enquête de Trois-Quatorze.

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