Cette année nous permet, non seulement de découvrir une partie d’un pays inconnu, mais aussi de vivre une vraie expérience sociale et surtout de nous ouvrir l’esprit. On apprend une langue, on apprend l’écoute ; on apprend les autres, on apprend à apprendre. On devient une véritable éponge. On apprend enfin à dire à ceux qu’on aime combien on les aime. Un mot à ceux qui hésitent à partir : ne vous laissez pas abattre par les profs qui ne comprennent rien, par les conseillers d’éducation qui devraient changer de métier, par les amis jaloux. Quand on vous parle « d’année perdue », surtout n’écoutez pas. Moi je savoure chaque instant à fond.
Violaine, Thunder Bay, Ontario
Un an au Canada