Nous ne sommes que deux ici (un Américain et moi) à nous partager le pays et l’amitié de tous nos « friends » portugais (qu’on adore et dont on ne veut plus se séparer). Il en aura fallu du temps pour s’habituer à la morue, aux retardataires, à la chaleur… Mais, ça y est, on y est parvenu. On est dans le rythme et on en est fier. On en a essuyé des crises de larmes et des fous rires. On en a passé des moments inoubliables. On voudrait que ça continue. Au final, il restera Madère, ma maison sur la colline, paumée dans la forêt, et le gala des finalistes, et les répétitions de valse, et la robe… et tout le tralala. De gros bisous à vous tous – que vous soyez en train de chasser le caribou au Pôle Nord ou le chien en Tasmanie.
Coralie / Un an au Portugal