Quand je suis partie, j’avais l’impression d’être en pèlerinage. Porteuse, comme tous les autres participants, de paix et d’espoir. Je me dis que grâce à ce type d’échange toutes les nations et toutes les races
pourraient se mettre à s’aimer et à croire à une solidarité indestructible. Car, au fond de nos âmes, le désir qui nous mène est celui du partage.
La martiniquaise d’Alaska vous envoie une corbeille de bisous… gelés.
Mely, Alaska,
Une année scolaire aux USA en 97-98