Whatever but anyway

Tout change. C’est parfois mieux, c’est parfois moins bien. C’est ma famille qui m’enchante le plus. En rentrant de l’école, je trouve toujours quelqu’un pour m’écouter, m’aider, me répondre. Je ne vais pas vous cacher que parfois c’est dur ; on se sent seul, on est déboussolé, on pense à son monde, ses habitudes, son petit chez soi. Dans ces cas là je me dis : « Demain si tu veux tu rentres. » Et là je réponds : « Non ». Alors je reste. Pas question de laisser tout cela en cours de route. Un conseil à ceux qui en ont la possibilité : Foncez vers le rêve américain, australien, chinois… « Whatever ». « But anyway, make the most of it ».

Audrey, Dalton, Ohio
Un an aux États-Unis